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« Je vous ai dit ces choses, afin qu'en moi vous ayez la paix. Vous avez de la tribulation dans le monde ; mais ayez bon courage, moi j’ai vaincu le monde » (Jean 16:33).
Il y a une merveilleuse chaleur dans les paroles du Sauveur : « Ayez bon courage ». Dans Matthieu 9:2, il guérit l’âme et le corps d’un paralytique en disant : « Aie bon courage, mon enfant, tes péchés sont pardonnés ». Lorsque ses disciples luttaient dans leur bateau contre des circonstances adverses dans Marc 6:50, le Seigneur leur enlève leur peur : « Ayez bon courage ; c’est moi ; n’ayez point de peur ». La femme atteinte d’une maladie que personne ne pouvait guérir toucha le bord du manteau du Sauveur avec une foi simple dans Luc 8. Jésus dit : « Aie bon courage, ma fille, ta foi t’a guérie. Va-t’en en paix » (v.48). Dans l’Évangile de Jean, le Seigneur promet la paix à ses disciples et réjouit leurs cœurs : « Je vous ai dit ces choses, afin qu'en moi vous ayez la paix. Vous avez de la tribulation dans le monde ; mais ayez bon courage, moi j’ai vaincu le monde ». Dans Actes 23:11, le Seigneur se tient aux côtés de Paul et dit : « Aie bon courage, Paul, car comme tu as rendu témoignage des choses qui me regardent, à Jérusalem, ainsi il faut que tu rendes témoignage aussi à Rome ». Peu de temps après, lorsque l’apôtre se présente devant le Gouverneur Romain, Félix, il commence sa défense par ces paroles : « Sachant que depuis plusieurs années tu es juge de cette nation, je fais de mon apologie avec plus de courage » (Actes 24:10). L’apôtre démontre la relation directe entre la présence du Seigneur et la puissance de la vie joyeuse que nous avons en Christ.
Paul enseigne à l’Église de Corinthe la caractéristique de la joie dans le don en de sacrifice, lorsqu’il écrit : « Or je dis ceci : Celui qui sème chichement moissonnera aussi chichement, et celui qui sème libéralement moissonnera aussi libéralement. Que chacun fasse selon qu'il se l'est proposé dans son cœur, non à regret, ou par contrainte, car Dieu aime celui qui donne joyeusement » (2 Corinthiens 9:6-7).
Lorsque le Seigneur ressuscité apparaît à ses disciples, il leur montre ses mains, son côté et ses pieds. Il prouve simultanément sa mort en sacrifice et sa puissante résurrection. Dans Luc 24, il dit : « Pourquoi êtes-vous troublés, et pourquoi monte-t-il des pensées dans vos cœurs ? Voyez mes mains et mes pieds ; que c’est moi-même : touchez-moi, et voyez ; car un esprit n’a pas de la chair et des os, comme vous voyez que j’ai » (vv.38-39). Dans Jean 20, nous lisons : « Le soir donc étant venu, ce jour-là, le premier de la semaine, les portes du lieu où les disciples étaient, par crainte des Juifs, étant fermées, Jésus vint, se tint au milieu d’eux. Et il leur dit : Paix vous soit ! Et ayant dit cela, il leur montra ses mains et son côté. Les disciples se réjouirent donc quand ils virent le Seigneur » (v.19-21). Dans la tempête, alors qu’il traversait les vagues pendant son ministère terrestre, il dit : « Ayez bon courage ; c’est moi ; n’ayez point de peur ».
À la résurrection, il déclara : « Voyez mes mains et mes pieds ; c’est moi-même ». Ses disciples répondent avec des cœurs joyeux : « Les disciples se réjouirent donc quand ils virent le Seigneur ».
Aujourd’hui, alors que nous nous souvenons du Sauveur, nous l’adorons, nous rappelant sa précieuse vie donnée par amour pour nous, nous nous réjouissons de la puissance de sa résurrection et de l'espérance de son retour avec des cœurs reconnaissants, joyeux et de courage. Nous sommes assurés de sa présence : « Ayez bon courage ! C'est moi ». Il est la source de notre joie et son « bon courage » devrait caractériser notre témoignage.
Gordon D Kell
145, Avenue du commerce, quartier Tshinsambi, commune de Kananga (Kasaï-Central, RD Congo)
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