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« Au contraire, dans toutes ces choses, nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés. Car je suis assuré que ni mort ni vie, ni anges ni principautés, ni choses présentes ni choses à venir, ni puissances, ni hauteur ni profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu qui est dans le Christ Jésus, notre Seigneur »
(Romains 8:37-39).
On peut sentir l’émerveillement dans le cœur de Paul lorsqu’il écrit sur l’amour conquérant de Dieu à la fin de Romains 8. « Que dirons-nous donc à ces choses ? » Il ressent un émerveillement nouveau lorsqu’il écrit que Dieu est « pour nous ». Il réfléchit également à la profondeur de l’amour de Dieu, qui se manifeste dans le sacrifice de son propre Fils. « Celui même qui n’a pas épargné son propre Fils, mais qui l’a livré pour nous tous ». Ces paroles nous ramènent à la première mention de l’amour dans Genèse 22, lorsque Dieu dit à Abraham : « Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac, et va-t’en au pays de Morija, et offre-le en holocauste, sur une des montagnes que je dirai ». Abraham n’a jamais sacrifié Isaac, mais un bélier est devenu le substitut d’Isaac. Je crois que Dieu prédisait, à travers l’expérience d’Abraham, comme un père, et d’Isaac, comme le fils bien-aimé, comment Dieu allait exprimer son amour conquérant : « Car Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3:16). C’était l’amour que l’apôtre, qui était l’ennemi du Christ, vivait dans la réalité : « Je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé et s’est livré lui-même pour moi ». C’est la base de toutes les bénédictions de Dieu : « Comment ne nous fera-il pas don aussi, librement, de toutes choses avec lui ? ».
Paul savait ce que c’était que d’être accusé, condamné et de souffrir pour avoir prêché le Christ. Il a connu la tribulation, la détresse, la persécution, la famine, la nudité, le péril et la cruauté du pouvoir Juif et Romain. Mais la souffrance n’est pas conquérante. La Bible décrit un jour où l’injustice sera jugée et renversée, un nouveau jour où « Dieu essuiera toute larme de leurs yeux ; et la mort ne sera plus ; et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni peine, car les choses premières sont passées » (Apocalypse 21:4). Et cela sera apporté par le Sauveur qui a pleuré et est mort et a connu la tristesse, les cris et la douleur de Gethsémané et du Calvaire. Il était l’Homme de douleurs ; il a porté nos langueurs et s’est chargé de nos douleurs ; il a été « blessé pour nos transgressions, il a été meurtri pour nos iniquités ». Sa souffrance était notre guérison, et sa mort nous a donné la vie. Il a affronté toutes les puissances qui ont endommagé et détruit l’humanité, et qui le font encore, et il les a vaincues avec son amour conquérant et éternel, « C'est Christ qui est mort, mais qui est aussi ressuscité, qui est aussi à la droite de Dieu, qui aussi intercède pour nous ».
Paul demande : « Qui est-ce qui nous séparera de l’amour du Christ ? ». Il ne niait pas la réalité de la tribulation, de la détresse, de la persécution, de la famine, de la nudité, du péril ou de l’épée. Il a continué à les souffrir et finirait par être martyrisé. Paul a dit que de telles choses ne nous séparent pas de l’amour conquérant et éternel de Dieu. Christ a vaincu toutes ces puissances. Il nous rend « plus que vainqueurs » par son amour. « Ni mort, ni vie, ni anges, ni principautés, ni choses présentes, ni choses à venir, ni puissances, ni hauteur, ni profondeur, ni aucune autre créature, ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu, qui est dans le Christ Jésus, notre Seigneur ». Jésus dit à Marthe : « Moi, je suis la résurrection et la vie : celui qui croit en moi, encore qu'il soit mort, vivra ; et quiconque vit, et croit en moi, ne mourra point ». Puis il demanda : « Crois-tu cela ? » Marthe répondit : « Oui, Seigneur, moi je crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu, qui vient dans le monde » (Jean 11, 25-27). Ne doutons jamais de l’amour conquérant de Dieu en Christ notre Seigneur.
Gordon D Kell
145, Avenue du commerce, quartier Tshinsambi, commune de Kananga (Kasaï-Central, RD Congo)
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