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« Et il les mena dehors jusqu'à Béthanie, et levant ses mains en haut, ils les bénit. Et il arriva qu'en les bénissant, il fut séparé d'eux, et fut élevé dans le ciel. Et eux, lui ayant rendu hommage, s'en retournèrent à Jérusalem avec une grande joie. Et ils étaient continuellement dans le temple, louant et bénissant Dieu. Amen » (Luc 24:50-53).
Luc rapporte que Jésus, nouveau-né, fut porté et déposé dans une crèche : « Elle mit au monde son fils premier-né, et l'emmaillota, et le coucha dans la crèche, parce qu'il n'y avait pas de place pour eux dans l'hôtellerie » (Luc 2:7). Quelques jours plus tard, il était porté dans les bras de Siméon : « Il (Siméon) le prit dans ses bras et bénit Dieu » (Luc 2:28). À sa mort, il était porté par Joseph d'Arimathée et déposé dans un tombeau. « Celui-ci (Joseph), étant venu à Pilate, lui demanda le corps de Jésus. Et l'ayant descendu, il l'enveloppa d'un linceul, et le mit dans un sépulcre taillé dans le roc, où personne n'avait jamais été déposé » (Luc 23:52-53).
Lorsque le Sauveur est né, Luc décrit un ciel ouvert et la gloire de Dieu à travers l'armée angélique (Luc 2:8-14). S'en est suivi l'hommage et le témoignage des bergers (v.2:15-20). Dans Luc chapitre 24, à Béthanie, les disciples du Seigneur ont levé les yeux et ont vu le Sauveur, les mains levées en signe de bénédiction, élevé au ciel. « Et eux, lui ayant rendu hommage, s'en retournèrent à Jérusalem avec une grande joie. Et ils étaient continuellement dans le temple, louant et bénissant Dieu ».
Au Calvaire, le Sauveur a porté nos langueurs et s'est chargé de nos douleurs : « Certainement, lui a porté nos langueurs, et s'est chargé de nos douleurs… Et l'Éternel a fait tomber sur lui l'iniquité de nous tous » (Ésaïe 53:4,6). Maintenant, notre Sauveur ressuscité et glorifié, nous venons à lui comme celui qui porte encore nos fardeaux : « rejetant sur lui tout votre souci, car il a soin de vous » (1 Pierre 5:7). Jésus expliquait avec simplicité, dans la parabole de la brebis perdue, que nous sommes non seulement retrouvés, mais portés sur ses épaules jusqu'à la maison : « Quel est l'homme d'entre vous, qui, ayant cent brebis et en ayant perdu une, ne laisse les quatre-vingt-dix-neuf au désert, et ne s'en aille après celle qui est perdue, jusqu'à ce qu'il l'ait retrouvée ? Et l'ayant trouvée, il la met sur ses épaules, bien joyeux ; et étant de retour à la maison, il appelle les amis et les voisins, leur disant : Réjouissez-vous avec moi, car j'ai trouvé ma brebis perdue ! » (Luc 15:4-6). Dans Jean 14, le Sauveur nous assure du jour où il nous transportera dans la maison du Père : « Que votre cœur ne soit pas troublé ; vous croyez en Dieu, croyez aussi en moi. Dans la maison de mon Père, il y a plusieurs demeures ; s'il en était autrement, je vous l'eusse dit, car je vais vous préparer une place. Et, si je m'en vais et que je vous prépare une place, je reviendrai, et je vous prendrai auprès de moi, afin que là où moi je suis, vous, vous soyez aussi » (v.1-3).
Compte tenu de tout ce que Jésus a fait pour la gloire éternelle de Dieu et notre bénédiction éternelle, nous sommes capables de porter dans nos cœurs notre hommage et notre adoration en présence de notre Sauveur ressuscité et glorifié. À l'instar des bergers, des mages, de Siméon et d'Anne au début de la vie terrestre du Seigneur, du lépreux samaritain rendu net durant son ministère, de Marie à l'approche de la croix, de Joseph et de Nicodème au tombeau, des femmes dévouées au jour de la résurrection et de ses disciples à Béthanie lors de l'ascension du Christ, nous venons exprimer notre hommage qui, par le Saint Esprit, est élevée au ciel en prévision du retour du Sauveur et de l'éternelle explosion de louanges.
Gordon D Kell
145, Avenue du commerce, quartier Tshinsambi, commune de Kananga (Kasaï-Central, RD Congo)
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